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Gratitude et visualisation: deux clés pour incarner la vie de nos rêves

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Bonjour à toutes et à tous!

Quel plaisir de revenir vers vous aujourd’hui avec un article sur ce thème qui me porte et me tient à cœur: l’énergie libérée par la gratitude et la visualisation.

Car c’est bien de la même énergie qu’il s’agit.

Que je prenne le temps de me réjouir et de remercier pour quelque  chose qui m’est arrivé, ou pour quelque chose qui va m’arriver, mon cerveau envoie les mêmes sensations de bien-être à mon corps, mon cœur se gonfle de la même manière.

Car, on commence à le savoir, le cerveau ne fait pas la différence entre ce que je vis réellement et ce que je vis virtuellement ou en pensée. Le message qu’il envoie à mon corps via mon merveilleux système nerveux est le même.

Et là où ça donne le vertige, c’est que ce message ne s’arrête pas à mon corps!

Mais… je m’emballe, je m’emballe… reprenons dans l’ordre et posément:

Premièrement, pour ce qui est de la gratitude…

  • Prendre le temps de célébrer ses besoins satisfaits et de remercier (la vie en général et les personnes qui ont contribué à notre bien-être en particulier) permet à nos cellules de ressentir pleinement le bénéfice de cette satisfaction, et donc au sentiment de bien-être de grandir et de s’épanouir à l’intérieur de nous.

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procrastination: 3 questions puissantes pour y remédier

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Dans mon dernier article, j’ai exploré les différences entre les résolutions, qui généralement ne tiennent pas sur la durée, et les intentions, qui une fois qu’on les a posées, nous guident sans relâche vers ce qui est important pour nous.

Le fait d’avoir des intentions plutôt que des résolutions ne nous dispense pas d’avoir des tâches à gérer, et d’être tentés parfois par la procrastination.

Voici trois questions puissantes à se poser pour transformer cette habitude de tout remettre à plus tard.

  • Quel est le sens de cette tâche ?

Le fait de se poser cette question permet dans un premier temps de valider l’utilité réelle de cette tâche.

Soit elle est au service d’une intention que j’ai posée à partir de mon être profond, auquel cas elle a du sens, soit elle est au service d’un schéma de fonctionnement (se sacrifier, faire plaisir pour être aimé, s’obstiner dans une voie pour des raisons dictées par l’ego…) et j’aurai du mal à l’accomplir tout en me respectant vraiment.

Bien entendu, mon conseil est de renoncer aux tâches dictées uniquement par l’ego, car d’après moi elles nous conduisent à  l’épuisement et nous éloignent de la réalisation de nos rêves.

Si ce que j’ai à faire est bien en lien avec une intention dictée par mon être profond, me rappeler cette intention ravivera ma motivation.

  • Quelle part de moi me détourne de mon objectif ?

Pour répondre à cette question, observez: que faites-vous quand vous procrastinez ? Souvent, c’est le même mécanisme qui revient: peut-être que vous mangez? ou bien vous lisez? vous surfez sur les réseaux sociaux? Et ensuite, vous vous maudissez d’avoir perdu du temps. En fait, une part de nous cherche à nourrir des besoins en lisant, mangeant ou surfant sur le net. Si l’on met la lumière sur ces besoins, et qu’on les reconnaît, on accepte pleinement cette part de nous, qui par conséquent cesse d’être envahissante.

Petit exemple: Lola est blogueuse. Elle partage des recettes de cuisine qui donnent envie aux enfants de manger de tout. Elle travaille aussi à l’usine pour gagner sa vie. Elle a posé l’intention de gagner de l’argent avec son blog, et de cesser de travailler à l’usine d’ici trois ans. Chaque fois qu’elle se met devant son ordinateur pour écrire une recette, elle joue finalement à un jeu en ligne. Pour transformer cette tendance, elle se met en lien avec son intention, et se rend compte que son comportement n’est pas au service de son projet. Mais cela ne suffit pas à la motiver. Elle écoute alors la part d’elle qui préfère jouer que d’écrire ses recettes. Elle réalise combien une part d’elle a besoin de jouer, de se détendre, d’être dans la légèreté et l’insouciance. Reconnaître cette part d’elle qui aspire à l’insouciance lui fait du bien, et cette part, mise en lumière, ne la mène plus à des comportements qui sabotent ses projets.

  •  Comment puis-je prendre soin de cette part ?

Reconnaître, accueillir et accepter cette part n’est souvent pas suffisant. Les besoins qu’elle cherche à nourrir sont vitaux, et il est important de les nourrir, et de le faire de manière consciente en prévoyant un temps spécifique pour cela.

Dans le cas de Lola, elle pourrait par exemple consacrer une demi-heure par jour à jouer, de 18h30 à 19h. Ainsi, la part d’elle-même avide de jeux et de légèreté de viendrait pas saboter son travail, car ses besoins seraient nourris régulièrement.

Ces trois questions peuvent transformer durablement vos habitudes.

Si vous avez d’autres astuces anti-procrastination, n’hésitez pas à laisser un commentaire!

Au plaisir de vous lire,

La Fannette

5 suggestions de mon bébé intérieur pour lâcher le mental

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Aujourd’hui j’ai envie d’approfondir la question, au sujet du mental (souvenez-vous de mon article: Mental tyrannique: comment se libérer de son emprise?)

Sur cette question, j’ai réalisé que mon enfant intérieur était d’un grand secours:

-Avant de savoir parler et comprendre le contenu des mots, le bébé expérimente le côté sensuel du langage, et sa musique. Avant de parler au mental, le langage parle au corps.

  • Si je veux mettre mon mental au repos, je peux écouter de la musique, des chansons en langues étrangères (que je n’ai pas apprises), et laisser mon corps s’en nourrir.

 

-De même, avant de connaître la fonctionnalité des objets qui l’entourent, le bébé en appréhende, avec curiosité, les formes, les couleurs, les odeurs et les aspects.

  • Régulièrement, je tente l’expérience de regarder ce qui m’entoure avec des yeux neufs: je suis attentive aux contours des objets, à leurs couleurs, à leur texture. Plus je fais cet exercice, moins mon mental cherche à interpréter ce que je vois.

 

-Lorsqu’on s’adresse à un bébé, souvent, nous sommes surpris de cette impression qu’il comprend ce qu’on lui dit. Parce qu’il ne s’agit pas que d’une impression: le bébé comprend, non pas parce qu’il connaît les mots, mais parce qu’il est en communication avec nous, au-delà des mots. Cette connexion, nous pensons l’avoir perdue, mais elle est bien vivante à l’intérieur de nous (c’est elle, par exemple,  qui nous fait dire en entrant dans une pièce, avant même d’avoir saisi la teneur de la conversation en cours « oh, l’ambiance est électrique ici »). Plus nous nous entraînerons à vivre cette connexion, moins nous solliciterons notre mental pour chercher à « comprendre ».

  • Voici la petite gymnastique que je vous propose pour cela: mettez un extrait de film, un dialogue de préférence, en version muette (un film que vous ne connaissez pas), et reliez-vous aux personnages. laissez venir ensuite quelques mots, correspondant aux émotions que ces personnages peuvent ressentir.

 

-Le bébé s’exprime avec des sons, qu’il mâche, explore, avec lesquels il joue.

  • Pendant mes trajets en voiture, je m’amuse souvent à parler en « gramelot », qui est un langage universel autant que personnel: tout le monde y a accès, et chacun a le sien propre! L’important, vous l’avez compris, n’étant pas de se faire comprendre ou de faire des phrases, mais de jouer avec des sons, et de laisser notre corps s’exprimer librement par notre bouche.

 

-Les mouvements effectués par un bébé ne sont pas réfléchis, anticipés, prévus.

  • Quelques minutes par jour, laissons notre corps choisir lui-même ses mouvements, et mettons-nous au service de ses inspirations de l’instant.

 

Ces cinq exercices, pratiqués régulièrement, permettent d’amplifier la  connexion à notre corps, et d’alléger les exigences du mental.

Si vous les avez déjà pratiqués, ou si vous en connaissez d’autres et que vous souhaitez les partager, n’hésitez pas à laisser votre témoignage en commentaire!

à bientôt,

 

La Fannette

 

 

Accueillir et accepter ses différentes parts: septième étape vers la paix

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En quoi accueillir ses parts peut contribuer à la paix?

En quoi m’accepter dans mon entièreté peut faire reculer la violence?

Voici un petit test qui nous permettra de sentir la réponse à ces questions, plus que de la comprendre.

 

Moi je ne supporte pas les gens qui…

Laissez venir la suite de cette phrase. défoulez-vous. En quoi ces personnes sont-elles insupportables ? Que disent-elles, que font-elles qui vous hérisse tant ?

Imaginez ces personnes, en train de faire ce que vous détestez tant. Visualisez en détail leurs faits et gestes. Accueillez pleinement ce que cela fait monter en vous comme sentiment.

Maintenant, voici deux nouvelles. Une bonne, et une mauvaise.

La mauvaise nouvelle, c’est que vous ne ferez pas changer ces personnes.

La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez changer votre regard sur elles, simplement en changeant votre regard sur vous-même…

Car ces personnes font miroir sur une part de vous, que vous ne parvenez pas à accueillir.

Mais comment identifier cette part, me direz-vous ?

Prenons comme exemple Benjamin qui ne supporte pas les personnes qui aiment se montrer. Il les trouve vantardes, prétentieuses, arrogantes.

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Identifier ses besoins: cinquième étape vers la paix

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Les besoins sont les leviers intérieurs qui nous poussent à nous mettre en mouvement vers le mieux être, vers l’épanouissement, vers la vie. Quoi que nous fassions, nous répondons à un besoin. Le fait d’identifier et de répondre à nos besoins de manière consciente nous permet de faire un pas vers la paix.

Voici pourquoi.

Lorsqu’un enfant crie alors qu’on lui demande de faire moins de bruit, il est en train de chercher à satisfaire un besoin. Il aimerait de l’attention, peut-être aimerait-il être rassuré, se sentir en sécurité. Pourtant, son comportement risque d’attirer notre agacement, et nous aurons de la difficulté à répondre à son besoin, si l’on ne prend pas le temps de l’identifier. Au contraire, nous risquons de croire qu’il cherche à nous importuner, et nous aurons alors tendance à le rabrouer… ce qu’il nous fera payer, à la première occasion. Et ainsi de suite. Ce scénario peut être décliné sur toutes les échelles possibles et imaginables. C’est en cela qu’il est facile de comprendre qu’identifier ses besoins contribue grandement à la paix.

Je vous propose trois petits exercices à caser dans votre quotidien, pour identifier les besoins.

1-La prochaine fois que vous sortirez une cigarette de votre paquet. Ou bien, que vous ouvrirez le frigo en passant devant. Ou bien, que vous vous rongerez les ongles. Ou bien, que vous vous servirez un « dernier petit verre »… posez-vous la question: quel besoin suis-je en train de chercher à satisfaire? Ai-je besoin de douceur? d’amour? ai-je besoin de sécurité? de repères? Prenez le temps de laisser résonner ces mots en vous. Lequel parle à votre corps ? Lequel avez-vous envie de respirer profondément, et de diffuser partout à l’intérieur de vous?

2-La prochaine fois que vous vous sentirez énervé(e), agacé(e), hors de vous… prenez le temps d’identifier le besoin qui n’est pas satisfait. Dites-vous « je suis énervé(e) parce que j’ai besoin de….. » et laissez venir un mot. Un seul. Puis respirez-le, diffusez-le à l’intérieur de vous.

3-La prochaine fois que quelqu’un vous dira une chose désagréable à entendre, prenez le temps de vous relier au besoin qui n’est pas satisfait chez cette personne. Dites-vous par exemple: « Si elle m’a dit cela, c’est sans doute qu’elle a besoin de….. » et laissez venir un mot. Puis observez: est-ce que ce qu’a dit cette personne est toujours aussi douloureux pour vous?

Quand vous aurez pratiqué l’un de ces exercices, n’hésitez pas à partager en commentaire le résultat de votre expérience…

à bientôt pour une nouvelle étape vers la paix !

La Fannette

6 astuces pour lâcher le contrôle

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Pourquoi lâcher le contrôle ? N’est-il pas indispensable de conduire sa vie, de gérer les événements de manière à ce que tout ce qui arrive soit prévu et maîtrisé ?

D’après moi, rester au volant de sa vie est effectivement indispensable si l’on souhaite se réaliser. Car si je quitte les commandes, je les donnerai forcément à quelqu’un d’autre: quelqu’un décidera pour moi, que ce soit mon compagnon, mon père, ma mère, mon patron, etc…

Rester au volant ne signifie pas maîtriser tout ce qui arrive: quand je prends ma voiture, je sais où je veux aller, je sais par quelle route je souhaite passer, mais je ne peux pas contrôler la météo, les réactions des autres automobilistes, l’état de la route, etc… Je peux me préparer aux éventualités les plus probables (c’est pourquoi si je vais en montagne au mois de janvier je prends des chaînes), je peux également me préparer à accueillir la vie comme elle vient. Cela paraît évident et facile… mais ça ne l’est pas tant que ça !

Est-ce que vous entendez souvent des phrases du genre: « Oh, un embouteillage ! Si on en profitait pour faire une petite pause ? » « Oh, regarde, quelqu’un a détruit notre château de sable ! Maintenant il ressemble à autre chose… voyons… à quoi ? » « Le voisin vient de m’appeler, notre chien a tué cinq de ses poules ! ça tombe bien, depuis le temps que je voulais l’inviter à prendre le café pour discuter de quelques petites choses… » J’imagine bien que non !

Et pourtant, qu’est-ce que ça rendrait la vie légère et fluide, si l’on pouvait prendre la vie du bon côté, quoi qu’il arrive !

Voici donc 6 astuces pour aller dans ce sens.

1. Prenez l’habitude de célébrer. Chaque fois que tout se passe comme vous voulez, remerciez-vous, remerciez la vie, de la manière qui vous parle, mais faites-le. Une fois cette habitude ancrée cela vous sera plus facile de remercier la vie pour ses petites blagues imprévues.

2. Quand une situation d’apparence insatisfaisante vous apporte finalement du positif, reconnaissez-le.

3. Exercez-vous à changer de point de vue: de temps en temps, jouez à être quelqu’un d’autre: vous venez d’une autre culture, ou bien vous êtes un enfant de 4 ans, ou une vieille personne de 100 ans: prenez quelques minutes pour regarder la vie de ce nouveau point de vue. Cela vous permettra de prendre de la distance par rapport à certains détails auxquels vous donnez beaucoup d’importance.

4. Distribuez des félicitations: si c’est difficile pour vous, commencez par le faire avec des personnes qui ne sont pas proches de vous: complimentez votre collègue pour sa nouvelle coiffure par exemple (sauf si vous la trouvez moche évidemment) , puis votre voisin, puis votre compagnon, puis vos enfants, et enfin vous-même !

5. Accepter ce qui est : ne luttez pas contre ce qui ne peut être changé: dans ce cas, lutter n’est que perte de temps et d’énergie. Prenez le temps de souffler profondément, et d’accueillir votre contrariété comme si c’était un petit enfant à consoler parce que sa boule de glace est tombée dans le caca de chien.

6. Quand un imprévu contrecarre vos plans, prenez quelques minutes pour essayer de trouver une cohérence entre cet imprévu et votre situation actuelle. Exemple: hier, ma fille était malade et ne pouvait aller à l’école, or, je devais partir à Lyon pour un rendez-vous avec une thérapeute. Après avoir accepté qu’elle n’irait pas à l’école et que j’aurais à gérer son problème de maladie en plus de mon rendez-vous, j’ai réalisé que la thérapeute que j’allais voir était médecin généraliste… je l’ai appelée, elle m’a dit que oui bien sûr elle prendrait le temps de regarder le problème de ma fille … effectivement, si on m’avait dit: « à quel moment est-ce que ça t’arrangerait le mieux que ta fille tombe malade ? » je n’aurais pas pensé à celui-là. Pourtant on ne pouvait pas trouver mieux comme créneau.

Pourquoi chercher à tout contrôler… l’organisation est déjà parfaite.

Voilà, maintenant, on reste au volant, et on garde bien dans la voiture ce petit kit qui nous permettra de sourire aux blagounettes de la vie ! Si vous avez d’autres astuces pour le compléter, n’hésitez pas à laisser un commentaire !

à bientôt !

Traverser le chaos, main dans la main avec soi-même

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Lorsque nous changeons de repères, nous traversons souvent une période de chaos.

Ce chaos est entre autres le résultat d’un conflit interne entre la part de nous qui souhaite évoluer, aller de l’avant, et la part de nous qui a peur, et qui refuse le changement. Pour vivre cette période transitoire avec le plus de sérénité possible, nous devons être à l’écoute de ces deux parts :

  • Remercier la part craintive, qui est avant tout au service de la vie: elle est là pour nous éviter la souffrance. Or, tout changement d’état est synonyme d’inconfort ou de souffrance.

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Examens de fin d’année: 10 conseils pour gérer son stress

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1: la veille de l’examen, fais quelque chose qui n’a rien à voir!

De toutes façon, il faut se rendre à l’évidence: il est trop tard pour réviser. La seule chose que tu puisses faire, c’est agir sur ton état intérieur pour être serein(e) demain. Alors fais une promenade, va voir des amis (pas ceux qui vont te demander si tu as bien révisé ci ou ça !), fais du sport… bref, mets tes neurones en vacances !

2: la veille de l’examen, mange léger et couche-toi tôt…

Si tu manges trop, tu auras de la difficulté à t’endormir et tu risques de ressasser tes pensées.

3: Si tu as tout de même tendance à ressasser tes pensées: écoute tes sensations, et non tes pensées.

Si tu te focalises sur tes pensées, elles risquent de t’emmener dans le pire scénario: on a souvent tendance à imaginer ce qui nous fait le plus peur. Ecoute tes sensations: oui, tu as peur, tu as le trac. Comment ça se manifeste physiquement? mets-toi en lien avec les endroits noués et serrés, et respire: petit à petit, tu sentiras la sensation s’alléger et s’estomper. Reste en lien avec ce qui est présent dans ton corps, tu t’endormiras beaucoup plus facilement que si tu « rumines » des idées.

4: Dans ta poche, mets une phrase qui te fait du bien.

Sur un petit papier, écris une phrase positive, comme « je fais de mon mieux en toutes circonstances », ou bien « tout est bien, tout est juste », ou tout autre chose qui t’aide à te relier à la confiance. Dans la journée, pendant ton examen, tu pourras régulièrement tâter ce papier au fond de ta poche et donc te remettre automatiquement en lien avec la confiance.

5: Ne te compare pas aux autres.

Retiens-toi de regarder les autres si tu as tendance à te comparer. Si tu es toujours en train d’évaluer le nombre de pages que ton voisin est en train d’écrire, tu vas perdre une énergie précieuse.

6: Relativise!

Si tu te dis que ta vie est en jeu, que ta réussite est indispensable, que si tu échoues, tu es un raté… tu vas faire monter la pression et tu risques de perdre tes moyens. Paradoxalement, pour réussir, il faut envisager l’échec comme une possibilité, et l’accepter. Ce qui ne veut pas dire se démotiver ! Tu sais que tu vas faire de ton mieux, et qu’il reste une part de hasard que tu ne maîtrises pas: c’est cela que tu dois accepter: tu ne maîtrises pas tout. Exactement comme dans un jeu: tu joues bien, mais tu ne sais pas à l’avance si tu auras de bonnes cartes entre les mains.

7: Imagine…

Lorsque tu te surprends à stresser avant l’examen, mets-toi à l’écoute de tes sensations, laisse-les se dissiper, puis imagine le meilleur scénario: tu es interrogé sur ce que tu connais le mieux, tu es inspiré, tout se déroule dans la facilité et la fluidité…

8: et ressens.

Lorsque tu imagines le meilleur scénario, mets-toi à nouveau à l’écoute de tes sensations, et goûte comme c’est bon de visualiser du positif !

9: Prends le temps de lire le sujet entièrement avant d’écrire, et pense à bien respirer.

Ne confonds pas précipitation et efficacité: la première te fera faire des boulettes, la deuxième prend son temps… pour gagner du temps.

10: encourage-toi régulièrement.

Pendant l’examen, sois doux envers toi: régulièrement, adresse-toi des pensées sympas comme: « allez, courage, on a presque fini. », « tu assures, c’est super », etc… En effet, si tu te dis des choses comme « argh, je suis à la bourre », tu risques d’augmenter ton stress, et d’être moins efficace!

 

Allez, courage, je sais que tu vas assurer, une fois de plus!

Si tu as utilisé ces conseils, n’hésite pas à laisser un commentaire.

à bientôt

La Fannette

 

 

 

Trois points-clés pour sortir de l’hésitation et prendre une décision en moins d’une minute

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Lorsqu’on doit prendre une décision, quoi de plus normal que d’hésiter, de peser le pour et le contre, de traverser un moment de profonde hésitation ?

Ce qui devient gênant, c’est lorsqu’on ne sort jamais de cette hésitation, et qu’on finit par laisser les circonstances ou les autres décider à notre place.

Pourquoi est-ce gênant, me direz-vous ? En effet, ce fonctionnement offre un avantage notoire : si la décision prise se révèle finalement mal appropriée, nous n’avons aucune responsabilité à assumer, nous pouvons déplorer le manque de discernement de la personne qui en est à l’origine, ou nous pouvons accuser le destin, la vie, la crise, la conjoncture actuelle… et personne ne viendra nous accuser, nous, qui n’avons finalement fait que subir le sort ou suivre les indications d’une personne en qui nous avions confiance. Il s’agit en effet d’un sérieux avantage : quoi qu’il arrive, on ne pourra pas dire que c’est de notre faute. Et l’on pourra critiquer confortablement les décideurs incompétents qui nous ont mené dans l’impasse.
Mais cet avantage se paye très cher : car finalement, on fait tout de même un choix … celui de subir plutôt que d’agir, d’être le jouet d’une météo extérieure sur laquelle nous n’avons aucune prise.

Si l’on veut être aux commandes de sa vie, il est indispensable de prendre des décisions.

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