Gratitude et visualisation: deux clés pour incarner la vie de nos rêves

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Bonjour à toutes et à tous!

Quel plaisir de revenir vers vous aujourd’hui avec un article sur ce thème qui me porte et me tient à cœur: l’énergie libérée par la gratitude et la visualisation.

Car c’est bien de la même énergie qu’il s’agit.

Que je prenne le temps de me réjouir et de remercier pour quelque  chose qui m’est arrivé, ou pour quelque chose qui va m’arriver, mon cerveau envoie les mêmes sensations de bien-être à mon corps, mon cœur se gonfle de la même manière.

Car, on commence à le savoir, le cerveau ne fait pas la différence entre ce que je vis réellement et ce que je vis virtuellement ou en pensée. Le message qu’il envoie à mon corps via mon merveilleux système nerveux est le même.

Et là où ça donne le vertige, c’est que ce message ne s’arrête pas à mon corps!

Mais… je m’emballe, je m’emballe… reprenons dans l’ordre et posément:

Premièrement, pour ce qui est de la gratitude…

  • Prendre le temps de célébrer ses besoins satisfaits et de remercier (la vie en général et les personnes qui ont contribué à notre bien-être en particulier) permet à nos cellules de ressentir pleinement le bénéfice de cette satisfaction, et donc au sentiment de bien-être de grandir et de s’épanouir à l’intérieur de nous.

 

 Petit exercice: à l’instant où tu lis cet article, prends le temps de te relier à un élément plaisant à l’intérieur ou à l’extérieur de toi. (Par exemple, au moment où j’écris cet article, j’entends un oiseau chanter). Respire en intégrant consciemment cet élément à l’intérieur de toi. (Quand je respire, je me relie à mon intérieur. Je « respire » ce chant d’oiseau.) Prends le temps de ressentir ce qui se déploie à l’intérieur. (Je ressens la tendresse pour cet oiseau, et pour le vivant en général.) Respire plusieurs fois pour accompagner ce déploiement. Enfin, remercie, et ressens ce qui se joue à l’intérieur de toi après avoir dit ou pensé « merci ».

Deuxièmement, pour ce qui est de la visualisation…

  • Visualiser une situation qui répond à nos souhaits les plus profonds produit sur nos cellules le même effet que la célébration des besoins satisfaits.

Petit exercice: prends ton agenda, et choisis parmi les événements à venir, un projet ou un rendez-vous que tu as particulièrement envie de soigner. Respire profondément, en te reliant à ta verticalité, et à ton assise. Prends le temps le laisser se déposer le calme à l’intérieur de toi. Une fois que tu te sens calme et serein(e), laisse venir à tes lèvres un sourire. Ressens ce que cela produit à l’intérieur de toi. Respire ce sentiment, et laisse-le circuler à l’intérieur de toi. Tu peux l’amplifier avec ta respiration si tu le souhaites. Ensuite, reviens à l’échéance que tu as choisie sur ton agenda. Visualise-toi dans cette situation à venir, et projette-la en imagination exactement comme tu souhaites qu’elle se déroule, tout en gardant ton attention sur le sourire sur tes lèvres, et ta respiration sereine. Tu peux faire cet exercice pendant quelques minutes, plusieurs fois avant ton échéance.

Troisièmement, pour ce qui est de ce que cela produit…

Petit rappel sur l’énergie: nous recevons et émettons toujours une fréquence. Celle-ci est influencée par l’impact produit en nous par toutes les informations que nous recevons de l’extérieur. Cet impact est différent pour chacun: certaines personnes peuvent regarder des images communément reconnues comme horribles sans que leur énergie intérieure en soit affectée, d’autres sont déstabilisées par des messages d’apparence anodins. Ensuite, nous émettons une fréquence par nos paroles, nos gestes, nos émotions, et surtout par l’énergie qui se dégage de nous. Nous sommes comme des filtres qui recevons et émettons sans cesse. Nous ne sommes pas responsables de l’énergie que nous recevons. Mais à partir du moment où elle vient toucher quelque chose à l’intérieur de nous, nous sommes responsables de l’onde produite. Autrement dit, si nous souhaitons être en paix et générer la paix autour de nous, il est de notre responsabilité d’accueillir ce qui s’éveille en nous, et éventuellement de le transformer, si cela contrevient à la paix que nous souhaitons. Parfois nous n’en avons pas la capacité, notre responsabilité est alors de demander l’aide nécessaire à cette transformation.

  • Pratiquer régulièrement la gratitude et la visualisation permet à tout notre être d’émettre une fréquence correspondant à nos aspirations. Cette fréquence est diffusée ensuite autour de nous, comme une onde qui parcourt la surface d’un lac. Elle transporte avec elle une information sur notre énergie intérieure. Elle rencontre d’autres ondes qui vibrent sur la même fréquence, et crée avec elles un réseau, et bientôt, tout notre être reçoit par ce réseau une fréquence qui correspond à nos aspirations… qui prendra tôt ou tard une forme dans le concret.

Nous sommes des transformateurs d’énergie: nous avons à l’intérieur de nous toutes les ressources nécessaires pour moduler notre fréquence à partir de ce que nous voulons vraiment vivre.

Toute matérialisation, qu’elle nous plaise ou non, a pris sa forme dans l’énergie avant de venir s’incarner dans notre vie. Nous pouvons décider d’émettre en pleine conscience sur une fréquence harmonieuse, qui correspond à ce que nous souhaitons au plus profond de nous.

Nous arrivons à la dernière phase de cette démonstration: l’expérimentation! à nous de jouer…

Si cet article vous inspire n’hésitez pas à laisser un commentaire!

 

 

mar 27, 2023 - Non classé    No Comments

Explorer et transformer nos loyautés

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Pourquoi vouloir transformer nos loyautés?

La loyauté est un gage de fiabilité dans la relation, qu’il s’agisse de notre relation à nous-même et à nos valeurs, ou de notre relation aux autres. Elle recouvre plusieurs notions qui cohabitent en son sein: honnêteté, probité, droiture, dévouement. On a donc tout intérêt à valoriser la loyauté dans nos relations.

Il y a cependant un hic… certaines loyautés se logent au niveau inconscient, et nous amènent à nous saboter ou à adopter des comportements qui nous nuisent.

Pour bien comprendre jusqu’où peuvent nous mener ces loyautés, pensez aux elfes de maison dans Harry Potter. (Pour celles et ceux qui n’ont pas lu Harry Potter, les elfes de maison sont des créatures magiques, qui sont au service des grandes familles de sorciers. Le contrat qui les lie à leurs maîtres est un contrat magique et tacite, qui les empêche de dire du mal de leurs maîtres, ou de leur désobéir. Si toutefois un comportement ou un mot « inadéquat » leur échappe, ils se punissent eux-mêmes, car le contrat est plus fort que leur désir d’indépendance et de liberté).

Quand nous sommes sous l’emprise d’un contrat de loyauté avec un aïeul ou un parent, nous allons nous comporter exactement comme un elfe de maison, mais à un niveau inconscient: nous nous interdirons toute pensée ou action allant à l’encontre des croyances que nous avons reçues de ce parent. Et si toutefois nous essayons d’adopter un comportement « interdit », nous nous punissons nous-même, d’une manière ou d’une autre (en faisant passer cette punition pour une cause extérieure à nous)

Par exemple, imaginons une personne, disons Mathilde, qui a grandi dans une famille dans laquelle les riches étaient continuellement décriés. « Regarde-moi ce sale bourge avec sa grosse bagnole », « on ne peut pas être à la fois riche et honnête, les riches sont forcément des voleurs », etc, etc… sont des réflexions qui ont circulé autour de Mathilde pendant toute son enfance. Il est possible que son désir d’être aimée de sa famille la pousse  à adhérer corps et âme à cette croyance selon laquelle les gens riches sont mauvais. L’adhésion à cette croyance représente un contrat inconscient, qui l’empêchera de s’autoriser la richesse financière. Si toutefois elle s’avise de réussir financièrement, il faudra qu’elle échoue d’une manière ou d’une autre. Son échec sera déguisé en coup du sort ou en arnaque venant de l’extérieur, mais en réalité, son inconscient l’aura fomenté. Elle vivra cela jusqu’au moment où elle rompra le contrat de loyauté.

Comment savoir si nous sommes sous l’emprise d’un contrat de loyauté?

Pour faire remonter à la conscience nos contrats de loyauté, nous avons, dans un premier temps, à observer les autorisations que nous nous donnons ou non, dans chaque domaine de notre vie.

  • Est-ce que je m’autorise à vivre des relations harmonieuses? Ou bien est-ce que j’ai l’impression d’avoir toujours en face de moi des personnes qui cherchent le conflit?
  • Est-ce que je m’autorise l’amour? Ou bien est-ce que j’ai la croyance que les belles histoires d’amour, c’est bon pour les comédies romantiques, mais que ça n’existe pas?
  • Est-ce que je m’autorise l’abondance? Ou bien est-ce que j’ai toujours l’impression de manquer?
  • Est-ce que je m’autorise la santé? Ou bien est-ce que je suis toujours malade?

Ensuite, accueillons le bénéfice que nous avons à ne pas nous autoriser ce qui est bon pour nous.

Dans le cas de Mathilde, imaginons qu’elle a pris conscience qu’elle ne s’autorise pas la richesse financière. Elle se pose maintenant la question: quel bénéfice est-ce que je tire, du fait de ne pas être riche?

Ne pas être riche, dira-t-elle, me permet d’être la bienvenue dans ma famille. De ne pas être jugée. De ne pas être suspectée de malhonnêteté.

Elle prendra alors conscience de son contrat de loyauté.

Comment rompre un contrat de loyauté?

Le simple fait d’avoir pris conscience du contrat de loyauté constitue déjà une étape fondamentale.

Ensuite, pour rompre ce contrat, qui nous empêche de nous autoriser ce qu’il y a de meilleur pour nous, plusieurs méthodes sont possibles, en voici deux :

  • Déconstruire la croyance induite par la loyauté (dans le cas de Mathilde, la croyance pourrait se formuler comme suit:  « on ne peut pas être à la fois riche et honnête »). Pour cette méthode, je vous invite à lire cet article: 5 étapes pour transformer ses croyances limitantes.
  • Faire une séance de visualisation.

Exemple:

Voici la visualisation que pourrait faire Mathilde.

Elle se trouve face à sa maman. Sa maman est munie d’un sac, un sac très lourd. Dans ce sac, il y a toutes ses croyances liées à l’argent. Sa maman lui tend le sac. Mathilde prend le sac, et le pose plus loin. (Elle prend le temps de sentir le contact avec les anses du sac, le poids du sac, puis sa détermination à le lâcher. Elle sent la légèreté que cela lui procure d’avoir posé le sac).  Elle dit à sa mère (à haute voix de préférence) « je n’ai pas besoin de ce sac. Je le pose ici, tu peux le reprendre si toi tu en as encore besoin ». Elle s’approche ensuite de sa mère et fait un geste qui signifie qu’elle souhaite rester en lien avec elle (elle lui prend la main, la serre dans ses bras, ou lui sourit…)

Après cette visualisation, Mathilde prend le temps de se relier à ses sensations, en respirant profondément.

Si vous connaissez d’autres méthodes pour prendre conscience de ses loyautés et les transformer, n’hésitez pas à les partager en commentaire.

à bientôt pour un prochain article!

 

 

Nouvelle année: on arrête de se la raconter?

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Parce que c’est la nouvelle année, on croit qu’on repart sur de nouvelles bases. On s’imagine que le passé est gommé, que le cahier de notre vie est vierge, comme celui de la rentrée, qu’on se promettait de ne pas tacher, cette fois. Alors Mental fait des plans sur la comète, tire la langue, appliqué, en faisant la liste des choses qu’on fera, promis, cette année. Ego, radieux, applaudit, car cette fois il y croit, cette fois c’est la bonne, cette fois, oui, il n’y a pas que l’année qui est nouvelle, nous le sommes aussi, nous voilà vide de toute souffrance, avide de toute puissance, nous voilà bien installé, à la proue du navire, cheveux aux vents, sourire aux lèvres…

Et puis… on jette un œil dans le miroir, et l’on voit bien que le cahier n’est pas neuf. Au bout de deux jours déjà, on fait le point sur les promesses tenues, et l’on constate que non, les ornières mortifères n’ont pas disparu par enchantement le 31 décembre à minuit.

Alors, plusieurs solutions s’offrent à nous. Ego nous suggère de nous auto-flageller, car décidément, on ne changera jamais. Mental ne baisse pas les bras, et nous concocte un programme de derrières les fagots, lever 6h00, jeûne intermittent, sport à gogo. Une part blessée vient nous tirer par la manche pour nous caler sous la couette avec un bon gros paquet de chips, pour nous réconforter. Une amie ou une tante nous suggère de nous bouger les fesses, enfin, si c’est pas malheureux, on n’est que le deux janvier, et toutes nos résolutions sont parties à vau l’eau!

C’est bien cela, notre drame. Soit on se bat contre le courant, à coups de rames exigeantes, soit on se laisse couler par le fond, de fatigue, d’avoir tant lutté. Un jour on s’épuise à suivre notre to do list, coûte que coûte, au prix parfois de notre santé, le lendemain, on lâche le fil rouge de nos désirs les plus beaux pour un plaisir fugace et destructeur.

Mais alors, que faire? comment différencier nos vrais élans des exigences, et comment garder le cap de notre vie rêvée?

  • Que faire?

Tout simplement, arrêter de croire que la réponse est dans le « faire ». Si l’action précède la respiration, si l’action précède la vision, si l’action précède l’émotion, alors elle nous emmène, au mieux, à pédaler dans la semoule, et au pire, à foncer dans le mur.

Il y a panique à bord? centrons-nous. Collons nos fesses au plancher, et respirons. Prenons le temps. Le bateau tanguera, nous sentirons la stabilité, la sérénité, la paix à l’intérieur. Et à partir de cette paix, nous pourrons y voir clair. Nous pourrons laisser venir l’évidence de nos vrais élans, l’enthousiasme qu’ils suscitent, et l’envie d’agir dans le concret. Alors, seulement, nous pourrons décoller nos fesses du plancher, car nous aurons des fourmis dans les pieds. Et là, plus de semoule où pédaler, plus de mur où foncer: juste un tapis rouge où dérouler nos pas, l’un après l’autre !

  • Comment différencier nos vrais élans des exigences?

La question magique pour faire la différence est: si je ne fais pas cela, que va-t-il se passer?

Si la réponse appelle des jugements ou des comparaisons, si la réponse est liée au regard des autres, il y a de fortes chances que l’on soit dans l’exigence. (exemple: ce qui me vient à l’idée que je n’obtienne pas 15/20 de moyenne au deuxième trimestre… je me dis: je vais avoir l’air de quoi? que vont penser mes parents? je vais me trouver nul… ). Il convient alors d’aller explorer nos liens de loyauté, et de les transformer (voir cet article)

Si la réponse provoque une réaction physique, une sensation, une détresse intérieure, alors on est certainement en lien avec un véritable élan. (Exemple: ce qui me vient à l’idée que je ne joue pas ce spectacle… je me sens plombée, triste, découragée.) Là, nous avons à dénouer un conflit intérieur entre ce véritable élan, et les freins qui nous bloquent (article à venir sur le sujet!)

  • Comment garder le cap de notre vie rêvée?

Notre vie rêvée est déjà là. Si on continue de la mettre à l’extérieur de nous, dans le futur, elle restera toujours à l’état de rêve. C’est à nous de la faire entrer dans notre quotidien, dans notre corps, dans chacune de nos cellules, en en respirant chaque jour le parfum énergétique.

Plus précisément, pour incarner notre vie rêvée, deux pistes s’offrent à nous: la gratitude, et la visualisation. Je reprends ces deux points en détail dans cet article.

Je vous souhaite, en attendant de revenir vers vous avec les articles promis, de fleurir votre quotidien des habitudes et des pratiques qui vous inspirent, afin que l’année 2023 soit tout simplement merveilleuse.

 

 

Sortie de matrice, métaphore 3: l’accouchement

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Cet article est le dernier de la série des métaphores sur la sortie de matrice (les deux premiers sont lisibles ici et )

Nous sommes nombreux actuellement à sentir une pression venue de l’extérieur (mesures contraignantes, oppression des peuples, menaces des gouvernants, lois ineptes, etc…), qui nous oblige à nous relier à notre confiance intérieure, à notre élan de vie, sous peine de perdre toute énergie dans un combat inutile.

Ce double mouvement, pression/confiance, évoque ce qui est à l’œuvre lors d’un accouchement. L’utérus de la mère (la matrice), devenu inhospitalier pour l’enfant, car trop étroit, se contracte (lois contraignantes), ce qui provoque l’ouverture du col de l’utérus (énergies propices à l’évolution), et un inconfort chez le bébé (situation intenable pour les populations), qui se voit contraint de se laisser guider et glisser vers la sortie, derrière laquelle l’attend un monde nouveau (sortie de matrice!)

Cette image m’aide énormément…

  • à cesser de râler contre ceux qui multiplient les lois absurdes: à quoi cela pourrait-il servir au bébé, de s’insurger contre ces contractions qui le bousculent, à part à l’épuiser?
  • à rester reliée à la confiance que tout ce qui arrive est au service: sans contractions, pas de naissance!
  • à me laisser glisser, en restant connectée, quoi qu’il arrive, à ma guidance intérieure.

Si cette métaphore vous parle, vous pouvez compléter cette lecture avec l’article d’Olivier Clerc: L’accouchement difficile d’un nouveau monde

N’hésitez pas à partager en commentaire vos réflexions sur le sujet!

La Fannette

Sortie de matrice, métaphore 2 : les oreilles de Dumbo

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Dans les milieux du développement personnel et de la spiritualité, on est maintenant familiers de l’idée selon laquelle les limites auxquelles nous sommes confrontés forment un tissu illusoire: une sorte d’aquarium validé par notre consentement, produit de la peur et de notre vision duelle du monde, que jour après jour nous validons en réaffirmant nos croyances, en restant sur la fréquence de la peur. Cet aquarium est la matrice 3D. Pour en sortir, il nous faut déconstruire nos systèmes de croyances, nous relier à l’unité, et vibrer sur une fréquence de joie, de confiance et d’amour. En sortir ne signifie pas changer de décor, mais simplement appréhender notre réalité d’une manière totalement différente, voire se servir de cette réalité pour accéder à une dimension presque magique de notre existence: synchronicités, potentiels décuplés, accès facilité à l’intuition…

Le sujet de la matrice prend de l’ampleur aujourd’hui parce que ses limites sont de plus en plus visibles, et leur absurdité nous saute aux yeux: comme si les parois de l’aquarium étaient vraiment très sales, et qu’il n’était plus possible à nos yeux de ne pas les voir.

Pour autant, les contes et les histoires nous ont depuis toujours parlé de confiance, de magie, de lâcher-prise…Toutes ces histoires étaient comme le souffle d’un monde à la fois proche et lointain, qui évoquaient ce que nous étions réellement.

Parmi toutes ces histoires, celle de Dumbo est venue particulièrement me chatouiller l’inspiration, pour vous parler de la sortie de matrice.

Dumbo est privé de liberté, séparé de sa mère, ridiculisé… sa situation est de plus en plus insupportable, et c’est ce qui va le pousser à découvrir en lui des ressources que personne n’aurait pu imaginer. Ses geôliers, essayant de le ridiculiser chaque jour un peu plus, lui bâtissent une tour toujours plus haute, du haut de laquelle il va devoir sauter. Cette tour est la métaphore de son ascension vers une nouvelle dimension de lui-même.  En lui rendant la vie impossible, ses persécuteurs construisent en fait pour lui le tremplin vers sa libération: il n’a plus d’autre choix que de s’en remettre à la confiance totale qu’il a les capacités de voler.

La situation actuelle est pour moi comparable à l’histoire de Dumbo. Dans de nombreux pays, les libertés les plus fondamentales sont remises en cause. On ne s’étonne même plus d’entendre les gouvernants nous menacer. Des personnes sont privées de travail pour des raisons injustes et absurdes. Bref, depuis quelque temps, c’est la surenchère des mesures liberticides.

Notre porte de sortie ne se situe pas dans la révolte, qui ne fait que confirmer notre adhésion à l’hallucination collective, et durcit les parois de la matrice (la mère de Dumbo, après sa crise de rébellion, se retrouve enfermée à quatre tours et enchaînée!). Notre porte de sortie est accessible grâce au tremplin qui nous est offert. Comme dans Dumbo, ceux qui croient nous piéger nous érigent en fait un tremplin vers la découverte de nos pouvoirs insoupçonnés. C’est le moment de nous connecter à nos rêves d’enfants, à nos convictions profondes, à ce qui palpite en nous depuis des années, et qui a un goût d’évidence.

Eh, vis, danse!

 

Sortie de matrice, métaphore 1: le jeu du loup garou

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Depuis un certain temps, concernant la période que nous traversons, nous assistons à un tissage entre les discours questionnistes et les interprétations spirituelles, dont voici une trame narrative (vue par mon filtre) très grossièrement raccourcie :

     Certaines élites, soldats de l’ombre, ont marionnettisé à leur compte les pouvoirs politiques de nombreux pays. Face à cela, les « guerriers de lumière » (lanceurs d’alertes, guides spirituels et autres humains dits « éveillés »), participent de différentes manières au dévoilement des exactions de l’élite, ainsi qu’à l’avènement d’un monde nouveau, où la dualité cède la place à l’unité (ce monde nouveau est communément appelé 5ème dimension, en opposition à la matrice de 3ème dimension, dans laquelle l’humain est limité par sa vision duelle).

D’un point de vue purement logique, le chapitre « guerre des mondes », me semble difficilement superposable au cheminement vers l’unité : en effet, comment accueillir que nous sommes à la fois les particules d’un immense océan d’amour, et les protagonistes ou les témoins d’une guerre entre l’ombre et la lumière ?

C’est ce matin que trois métaphores me sont venues pour tenter de répondre à cette question. Voici la première.

Prenons le jeu du « loup garou »

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juil 12, 2021 - actualité, allégorie    No Comments

Choix merveilleux

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Bonsoir à tous!

Je tombe aujourd’hui sur un texte que j’ai écrit il y a un peu plus d’un an, et que j’avais posté sur les réseaux.

Ce soir je le trouve d’actualité, plus que jamais. Quand je le relis, je me sens solide, puissante, libre. C’est pourquoi je vous l’offre à nouveau.

 

Bientôt… dans quelque temps, je ne sais quand mais en tout cas un jour prochain, nous pourrons dire: j’y étais, et je l’ai fait.

Nous pourrons dire…

J’étais sur terre à ce moment crucial. À ce moment où nous avons eu ce choix merveilleux à faire entre

-laisser notre pouvoir entre les mains d’une autorité extérieure

et

-récupérer notre pouvoir et le sentir pleinement vivant en nous.

Ce choix entre

-se battre, prendre les armes contre ceux que nous avons identifié comme les méchants, et

-ouvrir les yeux sur notre responsabilité dans la situation. Ce choix entre

-laisser le virus de la peur et de la séparation se propager, et

-utiliser les outils dont nous disposions pour y faire barrage avec amour et justesse.

Nous pourrons dire…

Je l’ai fait. J’ai récupéré mon pouvoir. J’ai cessé de me battre contre les grands de ce monde parce que j’ai senti la grande en moi, parce que j’ai compris que j’étais une grande en ce monde, et en tant que telle, je me suis positionnée: quand des petits êtres blessés venaient vers moi pour exiger à corps et à cris que j’apporte ma pierre à leur édifice fait de souffrances et de peurs, je les ai regardés avec amour, et je leur ai dit « non, mon chéri », et je leur ai expliqué patiemment ce à quoi je disais « oui », en leur disant « non »; j’ai dit « non » et « au revoir » à certaines choses dont je ne voulais plus, j’ai dit « oui » et « bienvenue » à toutes les graines que je voulais semer dans ma vie.

Et ces graines, je les ai semées : des graines de coopération, de solidarité, d’équité, d’ancrage, de courage, de clarté, d’authenticité, d’honnêteté, de respect, de confiance, d’amour.

Oh, ça n’a pas été tous les jours facile, de rester centrée face aux crises des petits bouts de chou blessés, qui avaient tellement peur de lâcher l’ancien système… et j’ai réalisé qu’ils faisaient miroir à un bout de chou à l’intérieur de moi: j’ai eu de gros deuils à faire, car j’ai réalisé tous les endroits de moi où le vieux système avait ses racines, et il a fallu que je me penche, humblement, pour débusquer ces racines, et que courageusement je les retire, pour leur dire adieu, avec amour et gratitude, et que je les laisse partir, avec conscience, tout en gardant dans ma main la petite main de mon bout de chou intérieur.

Nous pourrons dire…

Nous avons traversé !

Quel bonheur de participer à cela aujourd’hui !

Nous y sommes !

Nous sommes les grandes et les grands de ce monde…

Alors, pour traverser, surtout gardons bien serrées dans nos grandes mains les petites mains de nos bouts de chou.

Restons ensemble, et traversons.

mar 11, 2021 - actualité    No Comments

De l’hyper contrôle à la toute puissance

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Bonjour à chacune chacun.

Je reviens vers vous avec un article sur l’impact énergétique que peuvent avoir d’une part la fréquence de l’hyper contrôle, et d’autre part celle de la toute puissance.

Comme pour chacun de mes articles, ma démarche est de partager mon point de vue avec vous, et donc vous trouverez ci-dessous des idées et concepts qui sont le reflet de ma vision de la réalité. Plusieurs jugements et interprétations se sont glissés dans cet article, ils m’appartiennent et donc j’en prends la responsabilité. Si vous n’avez pas la même vision et que vous souhaitez en faire part à mes lecteurs, je vous remercie d’enrichir cet article de votre point de vue en postant un commentaire.

Voici l’idée:

Depuis un an, et particulièrement en France, une maladie se répand à la vitesse grand V :

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nov 2, 2020 - actualité, expérience    No Comments

Informations, mensonges et propagande

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Il y a quelque temps,  au volant de ma voiture, je roulais derrière un camion et j’observais en rêvassant ses portières arrières. Je m’amusais à voir autre chose que des portières de camion. Grâce à quelques éléments présents à l’arrière de ce camion, phares, poignée, plaque d’immatriculation, publicité adhésive… je vis un visage. Au début il me fallut faire un effort pour conserver l’information « visage » dans mon esprit. Puis je ne vis plus que ce visage, et plus du tout deux portières arrières de camion. Je finis par doubler ce véhicule et me retrouver derrière un autre camion. Et là, à nouveau je vis un visage. Je me fis alors la réflexion que quelques éléments épars, que j’avais choisis de mettre ensemble, me permettaient de ne plus voir des portières, mais une nouvelle réalité: des visages. Je m’imaginai alors en train de débattre avec quelqu’un sur la réalité visible; cette personne verrait des portières de camion, et moi je verrais des visages. Et nous pourrions nous disputer des heures sur ce sujet, sur cette réalité vue par nos subjectivités différentes. Et finalement, j’en vins à me demander en vertu de quoi l’information « voici des portières arrières de camion » serait plus fidèle à la réalité que « voici des visages »?

Aujourd’hui, j’ai envie de vous offrir ma vision  actuelle de la relation entre réalité et information. Avant de commencer mon propos je prends une petite précaution, dictée par ce dont j’ai pu être témoin ces derniers mois en terme de partage d’opinions:

Je vous avertis par avance qu’il s’agit de mon interprétation, étayée à partir de mon expérience, de mes prises de conscience et de mes lectures. Tout ce que vous allez lire ci-dessous est le fruit de mon regard subjectif sur les choses. Les affirmations contenues dans cet article reflètent la solidité de mes convictions, et non une volonté de vous convaincre de quoi que ce soit.

Ceci étant dit, voici l’idée:

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